Tom Sturridge as the Sandman stands in a church-like room, light streaming through stained glass windows, with a raven on his shoulder

The Sandman obtient enfin l’adaptation qu’il mérite

The Sandman méritait d’être reconnu pour sa distribution de personnages ethniquement et sexuellement diversifiée

Il a fallu près de trente ans pour que la série de bandes dessinées révolutionnaires de Neil Gaiman, The Sandman, soit transformée en série télévisée. La version de Gaiman de The Sandman a été initialement publiée par DC Comics dans 75 numéros mensuels entre novembre 1988 et mars 1996.

Il a été présenté à l’origine comme une bande dessinée d’horreur avec la publicité de pré-lancement adaptant une ligne du poème de TS Eliot The Waste Land pour lire « Je vais vous montrer la terreur dans une poignée de poussière. » Mais il est sorti de la camisole de force du genre pour explorer un terrain largement épargné par les bandes dessinées grand public.

The Sandman parlait de dieux et de monstres, de chats et de Shakespeare. Un problème a été posé dans la Rome antique, un autre est allé en enfer et un autre a été posé lors d’une convention de tueurs en série dans la Californie moderne.

L’énorme distribution de personnages de Gaiman était ethniquement et sexuellement diversifiée. Il mérite le mérite d’avoir écrit un personnage trans positif dans les années 1990, qui avait de la dignité et de l’agence, et un rôle majeur dans la série.

Le personnage central de la série est le Sandman (Tom Sturridge), également appelé Dream ou Morpheus. Il fait partie d’une famille de sept personnes connue sous le nom d’Endless, toutes des représentations de l’expérience humaine. Ses sœurs et frères incluent Death, Despair, Desire et Destiny.

Les Endless survivent aux dieux et fermeront les portes de l’univers lorsque la dernière créature mourra. Mais malgré leur longévité, la série raconte comment tout subit un processus constant de transformation. Ils sont peut-être sans fin, mais ils ne sont pas plus immuables que n’importe qui d’autre.

Après de nombreux faux départs pour adapter la série au film, Gaiman a assumé le rôle de producteur exécutif pour s’assurer qu’il soit finalement réalisé. Cela valait la peine d’attendre. C’est une belle adaptation d’un grand comique, fidèle à la source sans y être servilement soumis.

A lire également